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Les africains acceptent d’être considérés comme des singes

A l’école, on nous apprend que nous sommes des singes. Car l’homme et le singe ont un même ancêtre selon la théorie de l’évolution. Est-ce qu’il y a un moyen pour quitter cette mentalité ancrée dans nos cerveaux ? Difficile de répondre à cette question, car les gouvernements africains, les Eglises en Afrique et les intellectuels africains ne dénoncent cet enseignement.

Les Gouvernements africains

L’étude de la théorie de l’évolution, qui énonce que l’homme est un singe, fait partie du programme officiel des gouvernements africains. Autrement dit, cette théorie a été certifiée ou validée par les gouvernements africains avant d’être enseignée. Par cette certification ou validation, les gouvernements africains reconnaissent et acceptent que les africains sont des singes car ils ont un même ancêtre (avec les singes).Et pourtant, la théorie de l’évolution est une idéologie qui a servi à justifier la traite des noirs. Cette théorie stipule que les noirs sont des singes. C’est ainsi que les noirs étaient vendus au même titre que les vaches, les chevaux ou tout autre animal de trait utile dans les travaux agricoles. On déniait le caractère humain aux noirs. Toutefois, on a fini par reconnaitre que les noirs sont des humains et non des singes. Par conséquent, on a aboli la traite des noirs par la loi en reconnaissant que c’est un crime contre l’humanité. Curieusement, les décideurs politiques en Afrique noir n’arrivent toujours pas a changé l’enseignement idéologique qui a servi à justifier la traite des noirs.

Les Eglises

Même les Eglises sont restées muette. Preuve : aucune Eglise en Afrique lors des enseignements ne dénonce guère cette théorie qui énonce que l’homme est un singe car l’homme et le singe ont un même ancêtre Toutes les écoles

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Conventionné  catholiques, protestantes, musulmanes, Kimbanguistes, salutistes ou les églises dites de réveil enseignent cette théorie dans leurs écoles

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Ceci étant, les Eglises enseignent une chose et son contraire à la fois. Car les églises enseignent les dimanches que l’homme a été créé par Dieu. Tandis que durant la semaine dans leurs écoles, elles (les églises) enseignent que l’homme est un descendant du singe. Quid alors des intellectuels africains ?

L’irresponsabilité des intellectuels africains

Aucun intellectuel africain n’ignore la théorie de l’évolution du singe à l’homme du fait qu’elle est enseignée dans toutes les écoles. Car les enseignants s’activent chaque année à expliquer aux élèves africains comment le singe était devenu homme en Afrique par « évolution » à travers différentes étapes de l’hominisation. Les intellectuels africains ne dénoncent cette théorie qu’on continue à enseigner sans discernement. Et pourtant, la théorie de l’évolution du singe à l’homme s’est avéré une arnaque, une escroquerie.

La théorie de l’évolution du singe à l’homme : une arnaque

Pour prouver que l’homme était un singe, on a usé de la fraude. Car, le fossile (ou le crane) qu’on illustre dans les manuel scolaires comme preuve de l’évolution du singe à l’homme s’est avéré une arnaque, une escroquerie ou encore un canular. En effet, ce fossile ou crane de l’homme de Piltdown « avait été en fait créé en fixant une mâchoire d’orang-outang à un crâne humain ». Ce montage a été découvert par Kenneth OAKEY, un chercheur du British Museum en 1949. Ce scandale avait éclaté en Angleterre qui a retiré ce fossile du musée de Londres, mais a ensuite tout fait pour étouffer l’affaire. Par conséquent, ce scandale n’a été repris dans aucun manuel scolaire afin probablement de préserver la « crédibilité » de cette théorie basée pourtant sur la fraude, le mensonge. Tous ceux qui veulent avoir plus d’information sur cette arnaque peuvent introduire le titre « le scandale de l’homme de Piltdown » dans le moteur de recherche Google. Ainsi, les gouvernements africains, les églises ainsi que les intellectuels africains ont été roulé car l’évolution du singe à l’homme enseignée dans toutes les écoles en Afrique n’est qu’une arnaque. Espérons que les africains vont prendre conscience de cette escroquerie. Vaut mieux tard que jamais.

 Jean Raoul Lumpungu, Chercheur